Chaud devant
Iñaki Garcia de Cortazar-Atauri se préoccupe du changement climatique et de son impact sur la vigne. Des ceps au rendement moindre, des vins plus forts, sont la conséquence directe de la hausse des températures en france. Mais pour l’heure, il se soucie du vent au téléphone qui pourrait gêner notre entretien.
Rencontre avec l’homme qui ne fait pas la pluie et le beau temps sur les vignobles mais pourrait bien les aider à s’acclimater.
Décanté : Au vu des effets du réchauffement climatique, va t’on devoir s’habituer à des vins beaucoup plus alcoolisés ? Des vins à 16% d’alcool seront-ils la norme dans les régions actuellement productrices de vins?
Iñaki : Certes il y a une mutation des valeurs alcooliques, les taux de sucre connaissent une évolution grandissante. Certains vignobles qui produisaient des vins entre 11,5% et 12% d’alcool élaborent aujourd’hui des vins avec des valeurs plus proches de 13%. Mais 16%, c’est difficilement imaginable, les producteurs font le nécessaire pour garder ces taux de sucre à un niveau acceptable.
Par Iris Delacroix, journaliste
illustré par Julien Jaffré
à retrouver dans notre
dossier politique
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